David accompagne le Chateau Ballandreau depuis 3 ans. Il a construits des outils de gestion commerciale sur sheets (suivi des ventes, facturation et stocks, contacts, création de gammes, bilan annuels) et des outils dédiées au monde de la vigne notamment :
En 2022 se posait la question de la construction d’un chais. Quelques projections financière plus tard, et un coup du destin en plus qui verra Mathias Marquet travailler à nos côtés, le chais a pu sortir de terre et proposait un projet économique raisonnable.
Objectif : passer d’une notoriété familiale et de petit château à une notoriété de vignerons et construction d’une marque en 3 ans.
Problème, 2023 écrase la Grionde et le vignoble du Ballandreau sous le poids du Mildiou. Les rendements sont + de 75% plus bas que l’année précédente.
Pourtant, 2023 reste une année charnière, et personne ne peut se dédire. Première fois que Hélène et Paul vinifient leur récolte, 5 vins super intéressants, et nécessité de vendre près de 12 000 bouteilles en 2024 – alors que personne n’est véritablement commercial -, le tout dans une structure qui va manquer d’énormément de moyens. Mais il faut bien créer les étiquettes, continuer le suivi entrepreneurial et permettre la SCEA de continuer l’aventure.
Depuis Mars 2024, après le terrible constat de multiples exploitations aux alentours de l’entre-deux-mers qui ont arraché des centaines d’hectares de vignes, David & Anais ont décidé d’activer le programme « c’est chaud ». Tout ce que l’on fera sera facturé entre 50 et 85% moins cher.
Cette année 2024, là, en juillet, semble merveilleuse pour la vigne. En espérant que la société va se remettre du gros coup de massue de 2023.